16 juin 2009
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Les orphelinats ont tous besoin de lait pour les enfants, c'est évident...
Actuellement, la plupart comptent et survivent grâce à des dons en argent et matériels divers, et par l'envoi (des pays du Nord) de lait en poudre.
J'aime à joindre deux problèmes pour qu'ils se solutionnent l'un l'autre, voici un exemple possible.
Le lait est une denrée très appréciée de tous en Afrique,l es bovins sont gardés par les Peuhls en général. Ils sont en partie la propriété d'individus n'ayant pas l'espace nécessaire pour s'en occuper correctement,et une partie du cheptel appartient aux Peuhls (nomades, dont certains commencent à se sédentariser).Le lait est leur salaire.
Mais comme il n'y a pas de sérieux élevages de chèvres et brebis, ces animaux sont souvent en divagation, car leurs propriétaires n'envisagent pas de dépenser pour leur nourriture, celle de la famille est prioritaire.
L'élevage de ces caprins et ovins est fonction du hasard qui permet ou non d'en vendre de temps en temps, ressource très incertaine.
Personne (à ma connaissance) n'a l'idée de les traire, d'en boire, de transformer et d'en commercialiser le lait.
Comme beaucoup de femmes sont dans des situations finançières difficiles, surtout dans les campagnes, on peut les aider à se constituer en coopérative (mon dada) pour recevoir une petite formation sur l'élevage du petit bétail, la traite, l'hygiène en élevages, la fabrication du fromage (type brousse), ainsi que la commercialisation, et ensuite l'investissement en matériels.
On peut intégrer à la formation des cours d'alphabétisation et autres que nous déciderons en concertation avec les intéressées.
Pendant leur formation, un local sera construit pour le stockage et la transformation du lait, ainsi qu'éventuellement sa commercialisation. Cependant, les marché des villes et des villages sont les plus propices à la vente.
Chacune aura quelques chèvres au départ, à moins qu'elles ne décident ensemble d'avoir un seul troupeau et un tour de garde tournant?
Un pourcentage du lait sera donné en don à l'orphelinat, mais sera insuffisant pour celui-ci. Nous demanderons à diverses instances du pays d'allouer une aide financière mensuelle pour l'achat de la différence, jointe aux dons en provenance de l'étranger.
Car l'orphelinat a des amis, gloire à Dieu qui permet le partage, car "avec Dieu,nous ferons des exploits"(la Bible).
Un projet va être élaboré en ce sens par notre association LE CHOIX, qui en cherchera le financement et le mettra en place dès obtention de celui-ci.
Mais déjà, que celle/celui qui veut s'engager se fasse connaître. Laissez vos commentaires et propositions, merci.
Actuellement, la plupart comptent et survivent grâce à des dons en argent et matériels divers, et par l'envoi (des pays du Nord) de lait en poudre.
J'aime à joindre deux problèmes pour qu'ils se solutionnent l'un l'autre, voici un exemple possible.
Le lait est une denrée très appréciée de tous en Afrique,l es bovins sont gardés par les Peuhls en général. Ils sont en partie la propriété d'individus n'ayant pas l'espace nécessaire pour s'en occuper correctement,et une partie du cheptel appartient aux Peuhls (nomades, dont certains commencent à se sédentariser).Le lait est leur salaire.
Mais comme il n'y a pas de sérieux élevages de chèvres et brebis, ces animaux sont souvent en divagation, car leurs propriétaires n'envisagent pas de dépenser pour leur nourriture, celle de la famille est prioritaire.
L'élevage de ces caprins et ovins est fonction du hasard qui permet ou non d'en vendre de temps en temps, ressource très incertaine.
Personne (à ma connaissance) n'a l'idée de les traire, d'en boire, de transformer et d'en commercialiser le lait.
Comme beaucoup de femmes sont dans des situations finançières difficiles, surtout dans les campagnes, on peut les aider à se constituer en coopérative (mon dada) pour recevoir une petite formation sur l'élevage du petit bétail, la traite, l'hygiène en élevages, la fabrication du fromage (type brousse), ainsi que la commercialisation, et ensuite l'investissement en matériels.
On peut intégrer à la formation des cours d'alphabétisation et autres que nous déciderons en concertation avec les intéressées.
Pendant leur formation, un local sera construit pour le stockage et la transformation du lait, ainsi qu'éventuellement sa commercialisation. Cependant, les marché des villes et des villages sont les plus propices à la vente.
Chacune aura quelques chèvres au départ, à moins qu'elles ne décident ensemble d'avoir un seul troupeau et un tour de garde tournant?
Un pourcentage du lait sera donné en don à l'orphelinat, mais sera insuffisant pour celui-ci. Nous demanderons à diverses instances du pays d'allouer une aide financière mensuelle pour l'achat de la différence, jointe aux dons en provenance de l'étranger.
Car l'orphelinat a des amis, gloire à Dieu qui permet le partage, car "avec Dieu,nous ferons des exploits"(la Bible).
Un projet va être élaboré en ce sens par notre association LE CHOIX, qui en cherchera le financement et le mettra en place dès obtention de celui-ci.
Mais déjà, que celle/celui qui veut s'engager se fasse connaître. Laissez vos commentaires et propositions, merci.